Ordinateur et carnet posés sur une table avec une plante en pot, dans un cadre naturel

🪴 Copywriter pour les pros du végétal

Pour mieux dire ce que vous faites,

sans trahir ce que vous êtes.

Des mots clairs. Alignés. Durables.

🪴 Franz — Copywriter enraciné pour les pros du végétal

Pour mieux dire ce que vous faites,
sans trahir ce que vous êtes.

(Des mots clairs, alignés, durables. Comme vos cultures.)

Comment j’ai fait pousser un profil LinkedIn de zéro (sans pub, sans réseau)

🌱 Cultiver sa visibilité, un post à la fois

40 posts, +13 500 vues, +450 interactions.
Le tout en 90 jours, sans sponsoriser, sans hack.
Dans cet article, je te partage ce qui a marché (et ce que j’éviterais la prochaine fois), si tu veux faire de LinkedIn un terreau fertile pour ta com’.

🌿 Introduction

Je ne suis pas community manager.
Je n’avais pas de réseau à activer.
Je n’ai rien sponsorisé.

Mais j’ai voulu voir ce qu’on pouvait faire pousser,
juste avec des mots bien choisis
et un peu de régularité.

En 90 jours, j’ai publié 40 fois.
Le compteur des vues a grimpé en flèche.
Plus de 450 interactions. Des votes, des commentaires, des messages privés.

Pas de formule magique,
juste une envie : cultiver une présence sincère, utile et visible — sans tricher.

Et dans cet article, je te partage ce que j’ai observé, ajusté, appris…
pour que, si tu veux toi aussi faire germer quelque chose sur LinkedIn, tu partes avec quelques graines en main.

🌱 1. Planter le décor : pas de réseau, pas de raccourci

Je suis parti de zéro.

Pas zéro comme “j’avais un vieux compte à 200 abonnés” —
non, zéro comme “aucune activité antérieure, aucun réseau à mobiliser, aucune audience à relancer.”

Jusqu’en mars 2025, mon profil LinkedIn était complet,
mais invisible.
Un peu comme ces végétaux en pot qui attendent en fond d’allée : là, mais pas mis en valeur.

Je ne voulais pas devenir créateur de contenu.
Mais je voulais comprendre ce que ça faisait d’avoir un espace à cultiver en propre.
D’observer, semaine après semaine, ce qui pousse. Ce qui ne pousse pas.
Et pourquoi.

Pas pour devenir influenceur.
Mais pour savoir accompagner celles et ceux qui, comme moi, ont besoin d’une visibilité solide, sans artifice.

Je me suis donc imposé un cadre :

  • Aucune publicité

  • Aucun partenariat de visibilité

  • Aucun système de croissance externe

  • Juste une stratégie de contenu, appliquée sur un terrain neutre.

    C’est ce terrain que je vais te faire visiter.

🌾 2. Préparer la terre : stratégie, rythme et ligne éditoriale

Je ne voulais pas publier pour publier.
Je voulais dire quelque chose.
Et le dire comme je le ressens : sans langue de bois, mais avec du fond.
Sans artifice, mais avec une ligne.

Alors j’ai traité ma présence LinkedIn comme un sol à structurer.

Pas question d’y semer tout et n’importe quoi.

Il fallait d’abord définir ce que je voulais faire pousser :

  • De la visibilité ? Oui, mais pas à n’importe quel prix.

  • De la légitimité ? Oui, si elle vient d’une parole vraie, pas d’un déguisement.

  • De l’envie d’échanger ? Surtout.

✍️ Une ligne éditoriale vivante, enracinée

J’ai construit une ligne éditoriale simple, mais cohérente, autour de 4 formats récurrents :

  • Le Dictonarium du Vivant : une publication chaque dimanche soir, avec 5 dictons à voter.
    Un format qui mêle poésie, communication et enracinement — et qui revient chaque semaine comme un rendez-vous.

  • La mini-série “Ce que les plantes nous enseignent sur la communication” : un épisode toutes les deux semaines, pour incarner les grandes notions du marketing à travers le vivant.

  • Des posts éducatifs TOFU / MOFU / BOFU : pour explorer les enjeux du copywriting végétal à différents niveaux d’engagement.

  • Des formats plus libres : retours d’expérience, coups de cœur, réflexions brutes ou messages d’alignement.

Rien d’automatique.
Juste un équilibre à maintenir entre régularité et respiration.

📆 Un rythme stable, humain

Je me suis tenu à une cadence de 3 publications par semaine, en moyenne :

  • Le mardi : un contenu d’ouverture de semaine (TOFU ou inspiration)

  • Le jeudi : un post de fond (MOFU, storytelling ou BOFU léger)

  • Le dimanche soir : le Dictonarium (MOFU avec engagement)

Pas d’obsession algorithmique.
Mais une discipline douce, comme on arrose des semis.

Ce rythme a été tenu pendant 12 semaines.
Et c’est cette constance, bien plus que les formats, qui a permis aux résultats de s’ancrer.

🌿 3. Observer ce qui pousse : les chiffres, mais surtout les signaux

En jardinage comme en communication, tout ne pousse pas au même rythme.
Mais si tu restes attentif… tu vois ce qui germe.
Et parfois, tu récoltes plus que prévu.

📊 Des chiffres encourageants (et 100 % organiques)

Sur 90 jours :

  • 40 publications

  • Un peu moins de 14 000 impressions

  • Plus de 450 interactions cumulées : réactions, commentaires, partages, votes

  • Une visibilité en progression continue, sans sponsorisation ni hacks

Certains posts ont fait quelques dizaines de vues.
D’autres ont dépassé les 1 500 impressions.
Mais ce qui compte, c’est l’ensemble qui a pris : une présence qui s’installe, doucement mais sûrement.

💬 Des signaux faibles, mais précieux

Les chiffres sont une chose.
Mais ce qui m’a le plus marqué, ce sont les signaux faibles qui disent que quelque chose se passe :

  • Des messages privés de remerciement ou de questionnement

  • Des votes réguliers au Dictonarium, parfois par des personnes silencieuses

  • Des premiers abonnements de profils professionnels qualifiés (responsables marketing, producteurs, communicants du végétal)

  • Des relais spontanés, discrets mais sincères

C’est là que tu sens que tu n’es plus seul à publier dans le vide.
Que les mots touchent.
Et que tu commences à fédérer un petit écosystème autour de ta voix.

✅ Ce que je referais

  • Maintenir la régularité, même en période creuse

  • Soigner le ton de chaque publication (pas de remplissage, jamais)

  • Continuer à tester des formats doux, non intrusifs, mais engageants

  • Poser des RDV éditoriaux pour rythmer la présence

❌ Ce que j’éviterais

  • Trop segmenter les posts par type de public (le mélange marche bien quand c’est incarné)

  • Publier sans commenter autour : l’algorithme ne récompense pas l’isolement

  • Attendre que tout soit parfait avant de publier

🔍 Ce que cette expérimentation m’a appris

✅ La visibilité vient de la régularité, pas de la visibilité des autres

✅ L’interaction sincère (même discrète) est plus précieuse qu’un buzz

✅ Le vivant répond au vivant : pas besoin de forcer pour capter

🌱 Conclusion : Et si LinkedIn redevenait un jardin ?

Et si on arrêtait de voir LinkedIn comme une vitrine ou un ring ?
Et si on le regardait plutôt comme un terrain à cultiver ?
Pas à occuper bruyamment, mais à nourrir.
Pas à conquérir, mais à fertiliser.

Ce que j’ai appris en 90 jours, ce n’est pas que tout se joue dans les chiffres.
C’est que la cohérence, la constance et la sincérité font germer quelque chose.
Même sur un profil tout neuf.
Même sans réseau.
Même sans techniques de ninja.

Alors si toi aussi, tu veux faire pousser une présence vivante,
qui ressemble à ce que tu fais,
et pas à ce qu’on t’a dit de faire…
commence doucement.
Sème. Observe. Ajuste.

Et si tu veux qu’on cultive ça ensemble,
je suis là, avec mes bottes et mes mots.

👉 Envie de cultiver ta présence sur LinkedIn, sans forcer ni t’inventer ?

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